[ Lisez mon commentaire personnel au sujet des animaux et les humains… ! ] Ouvrir...

« La vraie réalité » heurte à plusieurs égards le « sens commun ». La notion de sens commun se rapporte à une forme de connaissance regroupant les savoirs socialement transmis et largement diffusés dans une culture donnée : normes, valeurs et symboles, constituant une certaine interprétation de ce que nous pensons être la réalité.
Le sens commun désigne donc une forme de connaissance s’acquérant généralement par la socialisation, par opposition aux savoirs scientifiques qui exigent l’emploi de méthodes scientifiques.

Pour les sciences cognitives, « la subjectivité » représente l’ultime obstacle, soutenant que la description en « ce que ça me fait » du vécu des états subjectifs – joie, peine, colère, plaisir, etc. – ne peut être appréhendée par les explications physicalistes du monde.
Donc « La vraie réalité » peut heurter nos idées reçues et nos concepts dans la façon dont nous percevons les choses aujourd’hui. Notre réalité évolue avec le temps et est sous-jacent aux règles qu’exige la science.

D’un point de vue pragmatique, le sens commun est un raisonnement historique. Il permet de donner du sens et de répondre facilement aux problèmes ainsi qu’aux informations que les individus rencontrent dans la vie courante. Il est souvent perçu comme « naturel », « inné ». Il semble aller de soi. Ainsi, nous pensons souvent « Je ne vois pas comment je pourrais penser et agir autrement ».

Je vous dis cela, parce-que « la perception de nos habitudes peu radicalement changer ». Si nous faisons encore une différence, par exemple : « entre un chien ou un cochon », c’est que nous ignorons encore ce qu’est le spécisme, nous continuerons à croire que c’est une abomination ou choquant de voir ces genres de vidéos où les chiens sont mal traités, et défendre une espèce plutôt qu’une autre.

L’ignorance est la plus fréquente justification que nous-nous donnons. Mais avec du temps et de la détermination, n’importe qui peut facilement découvrir la vérité « La vraie réalité ». L’ignorance l’emporte depuis longtemps parce que les gens ne désirent pas connaître la vérité. (Tu ne tueras point « à plus forte raison », faire souffrir !)
« Ne me dis pas : Ça va me couper l’appétit. »

Texte de Mike Anderson, traduit par Louis Simonne Marcel :

Quand j’étais petite je me faisais beaucoup de souci pour les vaches enfermées dans les prés qu’on longeait parfois sur les routes de vacances; je pensais qu’elles s’ennuyaient et ça me faisait de la peine. Un jour j’ai posé la question à ma mère, qui m’a aussitôt répondu « Mais ne t’inquiète pas ma chérie, elles ne sont pas malheureuses, une vache c’est bête, ça ne ressent rien, ça ne pense à rien. »
Sûr que ça m’arrangeait bien de le croire, surtout parce que ça me délivrait d’un poids, si les vaches ne pensent pas et ne ressentent rien, comme ça elles ne sont pas malheureuses!
En plus la parole d’une maman, quand on a 6 ans, c’est juste sacré et définitif : j’ai imprimé ça dans ma tête et ça a duré un sacré bout de temps…
Un des petits mensonges perpétués (perpétrés, devrais je dire !) de générations en générations, qui deviennent quasiment des vérités qui assurent la bonne conscience et la pérennité du système de consommation. Renforcé par toutes sortes d’expressions dévalorisantes et si répandues dans notre langue du genre : « Cette fille a un regard de vache », ou encore « C’est une grosse vache »… Toutes sortes de choses qui poussent à considérer les vaches (veaux, bœufs, taureaux) comme des animaux stupides, lents à la détente, incapables de ressentir quoi que ce soit etc.
Ah non, tiens: les vaches c’est « lent à la détente et stupide », mais les taureaux c’est « noble et fier et des adversaires redoutables et dangereux ! » : paradoxe odieux de l’humain qui sait toujours inventer ce qui l’arrange, parce que les vaches et les bœufs (lents et stupides) on les assassine en douce dans des abattoirs, mais les taureaux (redoutables adversaires) on les assassine en public dans les arènes, il est donc important qu’il y ait des légendes différentes pour chaque sexe de bovins !
Et si on ouvrait les yeux ?

Merci pour celles et ceux qui m’ont lu. S’il vous plait faites passer ce message car il y a trop d’abominations et de souffrances dans les abattoirs et dans la vie de tous ces animaux que nous consommons, nous ne pouvons pas fermer les yeux sur cette situation qui est insupportable, ces animaux n’ont pas à vivre ce cauchemar.
– Le sujet sur les animaux est l’un des sujets le plus intentionnel de ce blog.

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Comme tous les êtres vivants, les animaux ont des semblables avec qui ils forment un groupe homogène, appelé espèce. « Chaque espèce, résulte de l’assemblage et de l’union d’une âme et d’un corps sous une même forme »
– Platon.

 

Comme gardiens de la planète, il est de notre responsabilité de traiter avec toutes les espèces, avec bonté, amour et compassion. Ce que ces animaux subissent par la cruauté humaine est au-delà de la compréhension. Aidez s’il vous plaît à arrêter cette folie. Richard Gere

Avant la fin de ce siècle, le film reportage EARTHLINGS aura un impact sur notre prise de conscience envers les animaux que nous mangeons et sur notre société. En étudiant notre histoire, les générations futures comprendront les dysfonctionnements de notre civilisation et les raisons de nos conflits !…

Sans relâche, les humains se comportent comme les rois absolus de la création, en territoire despotique ils déciment le monde animal. Quand on observe le comportement humain, cette réalité fait l’objet d’une sérieuse inquiétude. Des centaines de sites et fondations font référence à la maltraitance des animaux. EARTHLINGS est considéré comme le documentaire le plus convaincant jamais réalisé.

Nation Earth « Terre Nation » (http://www.nationearth.com/) a été créé pour produire des films documentaires sur des questions socialement urgents. La société est actuellement à l’œuvre sur la deuxième tranche, Unity, qui explorera la force unificatrice de la conscience dans la nature, les animaux et l’humanité.

Le film Unity a été écrit, réalisé et produit par Shaun Monson, qui a également écrit et réalisé le film EARTHLINGS. Unity est un film pour tous ceux qui ont faim, pour un sens plus profond de l’existence. Un monde qui ne repose pas sur des opposés (nous / eux, riche / pauvre, noir / blanc, gay / hétéro, homme / animal, etc.), mais un monde perçu par la plénitude…
UNITY reprend là où s’était arrêté EARTHLINGS, sauf qu’au lieu de se concentrer sur notre relation avec les animaux, le film explore les relations dualistes de l’homme avec l’autre. http://unitythemovement.com/

    

Description :

EARTHLINGS est un documentaire sorti en 2005, long-métrage sur la dépendance absolue de l’humanité à l’égard des animaux (animaux de compagnie, nourriture, habillement, divertissement, et recherche scientifique) mais aussi sur l’irrespect total pour ceux qu’on peut aussi qualifier de « marchandise « .

EARTHLINGS utilise la caméra cachée et jamais auparavant on n’avait vu ces pratiques au jour le jour, d’une des plus grandes industries au monde, qui se fondent entièrement sur l’utilisation d’animaux pour faire du profit. Puissant et instructif EARTHLINGS est de loin le documentaire le plus complet jamais produit sur la relation entre la nature, les animaux et les intérêts économiques des humains. On trouve beaucoup de films défendant cette cause, mais celui-ci dépasse tout.

« Nous sommes tous des animaux de cette planète. Nous sommes tous des créatures. Et les animaux non humains éprouvent des sensations de douleur tout comme nous. Eux aussi sont forts, intelligents, industriels, mobiles et évolutifs. Ils sont eux aussi capables de croissance et d’adaptation. Comme nous, de première main, ce sont des terriens. Et comme nous, ils survivent. Comme nous ils cherchent aussi leur propre confort plutôt que l’inconfort. Et comme nous ils expriment des degrés d’émotions. Bref comme nous ils sont vivants. » Joaquin Phoenix Des Terriens pleurent pour être entendus.  Vivement recommandé !

« Certaines vérités sont restées longtemps ou totalement sans effet, simplement parce que personne n’a envisagé qu’elles puissent devenir réalité. » Albert Schweitzer

Ci-dessous, le Film EARTHLINGS en version Originale.
Vous pouvez également le retrouver en version Française sur la page 6 

Les images que vous allez voir ne sont pas des cas isolés, ce sont les standards industriels pour les animaux.
   –    Site officiel : ici
Commentaire du Film EARTHLINGS. PDF
https://www.facebook.com/EarthlingsFilmOfficial
Attention : ce documentaire est à déconseiller aux enfants de moins de 16 ans. Âmes sensibles s’abstenir. Ce film documentaire américain traite de la place de l’homme dans la nature, et de son action négative sur le monde animal. Aussi puissant que ‘Une vérité qui dérange’ de Al Gore. Il faut le voir absolument !
Il a eu un énorme succès aux USA, a remporté de nombreux prix et a été nominé aux Oscars. Le narrateur est le célèbre acteur Joaquin Rafael Phoenix.
La musique est de Moby « Richard Melville Hall ». Il y est question notamment de l’industrie et de sa responsabilité dans la cruauté envers les animaux.

Attention : certains passages sont très durs, comme par exemple la façon abominable dont les japonais exécutent les dauphins pour vendre ensuite leur chair, en la faisant passer pour de la baleine, contournant ainsi la loi.
Attention : ce documentaire est à déconseiller aux enfants de moins de 16 ans. Âmes sensibles s’abstenir. Ce film documentaire américain traite de la place de l’homme dans la nature, et de son action négative sur le monde animal. Aussi puissant que ‘Une vérité qui dérange’ de Al Gore. Il faut le voir absolument ! Il a eu un énorme succès aux USA, a remporté de nombreux prix et a été nominé aux Oscars. Le narrateur est le célèbre acteur Joaquin Rafael Phoenix. La musique est de Moby « Richard Melville Hall ». Il y est question notamment de l’industrie et de sa responsabilité dans la cruauté envers les animaux.
Attention : certains passages sont très durs, comme par exemple la façon abominable dont les japonais exécutent les dauphins pour vendre ensuite leur chair, en la faisant passer pour de la baleine, contournant ainsi la loi.

Synopsis : En utilisant des caméras cachées et des images jamais montrées, Earthlings est une condamnation de la conduite humaine face au monde animal. Y sont présentées de grandes et petites industries contemporaines, dont les profits dépendent, d’une manière ou d’une autre, de l’exploitation animale.
Commentaires :
Les animaux tuent par nécessité, pas par plaisir. Ils ne connaissent pas la cruauté, ce qui n’est pas notre cas.
« Tout fait sens, notre cruauté qui nous constitue, tout comme notre lâcheté, qui consistent à refuser de concevoir notre responsabilité individuelle, vis-à-vis de tout ce qui nous entoure, comme engageant l’humanité entière ».
Néanmoins nous vous recommandons FORTEMENT de commander le DVD version francophone – version originale
afin de soutenir la cause animale. Voir le lien : http://www.kick-productions.fr/earthlings/earthlings.html

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– Les trois quarts des ressources de pêche sont épuisées, en déclin ou à la limite de l’être
– Chaque année 100 millions de requins sont massacrés pour soutenir une industrie d’un milliard de dollars par an, dont le Costa-Rica tire le profit.
– Plus de 29000 espèces animales disparaissent chaque année, soit 1000 fois plus que le rythme naturel.
– Plus d’un milliard d’animaux sont tués dans les abattoirs en France chaque année, dont 80 % dans les conditions atroces du système – kasher & hallal 

Éthique – Oeufs-edition2008-web.pdf
Manger des œufs peut sembler anodin, l’œuf ne ressent rien. Mais cet œuf provient d’une poule à qui on impose une condition de vie astreignante avant de l’envoyer à la mort.
Parce qu’elle ressent la souffrance, nous ne devrions pas disposer de son corps, et parce qu’elle peut également ressentir du plaisir, nous ne devrions pas la 
tuer. « En remplaçant les œufs par des graines de chia, c’est simple de changer ses habitudes. Les œufs sont acidifiants pour notre corps… Alors qu’avons-nous comme bonne raison d’en consommer ? » Mimi Farine
– 82% des 700 millions de poulets de chair sont élevés sans accès à l’extérieur
– 81% des 47 millions de poules pondeuses sont élevées en batterie de cages
– 99% des 40 millions de lapins sont élevés en batterie de cages
– 90% des 25 millions de cochons sont élevés sur caillebotis en bâtiments


Dans un élevage du Morbihan, en Bretagne, des milliers de lapins destinés à l’alimentation sont enfermés dans un bâtiment où ils vivent l’enfer : des lapereaux agonisent dans leur cage grillagée, d’autres dans la fosse à déjections, certains pendent à travers les grilles des cages, des lapins sont mutilés.

Leur environnement est insalubre : excréments en couche épaisse sur les murs, cages rouillées, des centaines de mouches sur les cadavres. Les locaux sanitaires ne sont pas entretenus et ont plutôt des allures d’entrepôt : seringues usagées, toiles d’araignées, emballages vides d’antibiotiques et d’hormones de reproduction, outillages rouillés…

« Métro de Paris »
J’avais du mal à y croire, mais les gens regardent vraiment ces affiches, je les ai vus. Ils sont un peu déstabilisés, ils ne savent pas trop bien que penser, c’est trop nouveau pour eux. C’est une claque: la réalité, tout simplement, tout malheureusement, collée aux murs.


Je ressens, devant ces énormes affiches qui sont une première chez nous, une sorte de « fierté » (c’est génial que ça a été possible et que l’on brise le silence) et une certaine gêne (comment ça se fait qu’on soit obligé d’en arriver là). Je ressens ce que je ressens presque tous les jours, en militant… » Victoria Luta.

Cette situation est insupportable. Ces animaux n’ont pas à vivre ce cauchemar, aidez-nous à fermer l’élevage du Tertre en signant la pétition et en diffusant la vidéo d’enquête autour de vous. L214 – Éthique & Animaux – l214.com

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ZOO. L’enfer du décor

Stress, servitude, coercition, avilissement, dénaturation, esclavagisme, tel est l’état de vie des animaux captifs dans les cirques, les zoos terrestres et marins.

De nombreuses images ont étés captées dans les cirques qui se sont installés dans nos villes et villages.

« Ne voyant pas le reflet de lui-même, l’humain ne peut pas comprendre une humanité différente. » Boycottons les cirques avec animaux. E. Pierre

Je déteste voir des animaux sauvages dans les cirques. Il est navrant de voir ces pauvres animaux confinés dans de petites cages et charriés à travers le pays avec peu de respect pour leur bien-être et le bien-être. J’ai fait connaître précédemment sur ​​ce sujet mes sentiments et je crois qu’une interdiction totale est attendue depuis longtemps. Paul McCartney

« Le jour où l’on comprendra qu’une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires. » Boris Cyrulnik

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Cet animal dans notre assiette : Texte tiré de www.code-animal.com [ Homme-Animal ] & Animal Consommé

Si l’on tentait de définir le parcours de l’animal de boucherie en respectant la chronologie naissance, élevage, transport, abattage, puis transformation en carcasse, on irait à contresens de la logique du système actuel. On ne part plus aujourd’hui de l’animal pour aller vers la viande, comme pourrait le laisser sous-entendre une telle chronologie, mais, bien au contraire, de la viande pour remonter vers l’animal. C’est la viande consommée (sa qualité, sa quantité, son prix, etc.) qui définit et donc conditionne l’existence même de la bête.

À la question « à quoi sert un cochon ? », une publication jeunesse répond : « à faire de la charcuterie !  » Cette question-réponse est significative du lien qui a progressivement été rompu entre le consommateur et la nature. L’existence intrinsèque de l’animal n’aurait pas de raison d’être, le cochon n’existerait pas pour lui-même ; sa vie n’aurait de sens que par rapport à ce qu’il est en mesure de produire pour les hommes, à tel point que le morceau de viande dont il est le devenir semble être davantage considéré que l’animal lui-même.

En effet, dès sa naissance, l’animal doit répondre à des impératifs productivistes ; il doit ingurgiter des antibiotiques, grossir, produire de la chair ; la viande, quant à elle, sera émincée, cuisinée, décorée avec délicatesse, le tout à destination de l’assiette du consommateur. Et l’attention portée à cette assiette est telle qu’il est légitime de se demander si l’amour du cuisinier face à sa bavette de veau n’est pas plus fort que l’amour de l’éleveur pour ce même animal ?…

Dans les élevages, on compte les poules, les poulettes, les lapins par unité de mille têtes et la mortalité en pourcentage ; le cuisinier, quant à lui, se concentre sur sa cuisse de lapin individuelle avec infiniment plus d’attention et de respect qu’il n’en avait lorsque ce même lapin était enfermé dans un lot de mille têtes. En d’autres termes, plus on se rapproche du bout de la chaîne, c’est-à-dire de l’assiette du consommateur, plus le respect pour l’animal semble devenir grand, alors pourtant que l’on va du vivant vers le mort.

C’est donc à une réification de l’animal que le système actuel conduit et ce, dans une indifférence quasi générale.

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« Ne soyez pas choqué de certaines réalités ou parce qu’elles sont tout simplement : La vérité !… »

Charal :
L’abomination envers les animaux !…
L’abattage « rituel » des animaux qui, ayant échappé au rituel musulman, ont la chance d’être préalablement assommés, « il y a un mais »… Vidéo de 8mn10s
Document : La lettre de Bardot à Sarkozy
  « Si les abattoirs avaient des parois de verre, tout le monde serait végétarien. »
Paul McCartney

« Pensez de temps en temps à la souffrance dont vous vous épargnez la vue. »  Albert Schweitzer : Petit document
Albert Schweitzer était dans une quête passionnée de découvrir une philosophie éthique universelle, ancrée dans une réalité universelle, et de la rendre directement accessible à toute l’humanité.

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Et soudain, j’ai regardé le taureau, il y avait dans ses yeux cette innocence qu’ont tous les animaux et il m’a regardé en implorant. Cela s’est transformé en moi comme un cri qui demandait justice, je le décrirais comme une prière, parce que si quelqu’un se confesse il espère être pardonné. Je me sentais comme la pire merde du monde.
(Confession de ce toréador qui, depuis est devenu végétarien et qui lutte pour l’abolition de la tauromachie)

Pétition NON aux écoles taurines !

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« Le gavage des oies et des canards pour le foie gras me rend malade, il est cruel et devrait être interdit. J’en appelle donc à tous les citoyens belges à la campagne de GAIA contre le foie gras à l’appui.  » Paul McCartney  http://www.fauxgras.be/

Avec ses filles, Mary et Stella, Paul est président d’honneur de la Vegetarian Society : « En tant que président, je suis plus que heureux et fier d’être associé à la Vegetarian Society et de montrer mon soutien à son travail. « 

Le « Faux Gras » de GAIA.
Dans le prolongement de ses campagnes contre le gavage des palmipèdes pour la fabrication de foie gras, GAIA commercialise depuis 2009 une terrine végétale, à base d’huile de palmiste, présentée comme une alternative dont la texture et le goût sont, selon l’association, proches du foie gras. En Belgique, les ventes en supermarchés de Faux Gras de GAIA sont passées de 30 000 pots en 2009 à 105 000 pots en 2010.
En 2011, 160 000 pots ont été mis sur le marché. Parmi les ingrédients, GAIA met en avant la présence de truffes et de Champagne et le produit fait l’objet d’une communication soignée, incluant des spots télévisés et l’appui de personnalités comme Roger Moore.

Avec les fêtes de fin d’année, le débat sur le gavage des oies et des canards dans le but d’avoir du foie gras revient sur le devant de la scène. Selon Matthieu Ricard, moine bouddhiste, « le petit paradis gastronomique dans notre assiette est un enfer pour 40 millions de canards et d’oies ».

Un foie normal pèse 80 grammes. « Au bout de dix jours de gavage, il monte à 600 grammes. C’est comme si le foie d’un être humain pesait entre 7 et 10 kilos. On leur injecte l’équivalent pour un homme de 7 kilos de pâte en quelques secondes, et cela est fait deux fois par jour ».

Cet acte est considéré comme étant une « torture », pour Matthieu Ricard qui estime que « cela veut dire que l’on ne veut pas sacrifier nos papilles gustatives à la souffrance de 40 millions d’oiseaux ». http://www.l214.com/..message-matthieu-ricard-noel…

La solution est simple pour ce moine bouddhiste. « Arrêtez de causer de la souffrance ne prend qu’une seconde et n’empêche
pas de vous occuper de ce qu’il y a dans le monde. Un Américain moyen mange 120 kilos de viande par an, un Français 80,
un Africain entre 5 et 10 et en Inde 3 kilos ». L’élevage industriel est la deuxième cause d’émissions de gaz à effet de serre.
Une célébration de la Journée mondiale de véganisme Vegan : https://www.facebook.com/EVOLVECampaigns/videos/…

Le foie gras : une torture haut de gamme
http://www.natura-sciences.com/…

Les alternatives au foie gras sont nombreuses, le Tofoie-gras est une superbe recette réalisée par un chef de la cuisine végétale…
http://vg-zone.net/2010/12/03/tofoie-gras/

Pour vous remercier d’avoir dit non au foi gras…