Prenons conscience de la valeur inestimable de notre planète, seule oasis de vie au sein d’un désert sidéral infini, et construisons la paix.
Ces trois pages présentent divers aspects du système de notre société et d’une civilisation profondément déshumanisée.
Il est possible de faciliter la transition du monde actuel vers des perspectives positives, grâce à des approches différentes, sur notre vie sociale, l’existence des animaux, l’avancée de la science, et autres domaines qui ont déjà sollicité l’attention d’un grand nombre de gens dans le monde.      Animation sur la relation homme et nature.

D’ici la fin de la décennie 2010 / 2020, des changements considérables se seront déjà produits dans le monde, nos enfants et à plus forte raison nos petits-enfants, le verrons et le vivrons. Il faut donc s’y préparer et rester ouvert à toutes nouvelles expériences et suggestions.

Nul ne saurai dire ce qui pourrait nous influencer ou pas, sur le développement complexe de ce monde, vers une évolution orientée sur des valeurs positives. Il ne faut donc pas renoncer à tourner nos espérances, dans un monde dont nous ne soupçonnons pas le potentiel humain ; si ce n’est les désespoirs post-traumatiques qui se sont propagés à l’échelle de la planète. Il suffira de faire en sorte, que les vertus sous-jacentes au plus grand nombre, l’emportent sur l’orientation de l’évolution de ce monde.

Le mensonge dans lequel nous vivons.
Cette fameuse vidéo, « The Lie We Live » fait le tour du monde ! Le narrateur y présente beaucoup de faits qui ne tournent pas rond dans notre société, de quoi faire réfléchir et de nous ouvrir les yeux sur le monde dans lequel nous vivons.
Tant que l’homme n’aura pas conscience de l’ampleur du mensonge enraciné dans les annales de l’histoire humaine, faisant obstacle à notre évolution, il continuera à réitérer les erreurs commises dans le passé.

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Définition du mot idiosyncrasie employé ci-après :

C’est la manière d’être (tempérament, ou comportement « propre », « particulier ») de chaque individu face aux influences de divers objets extérieurs, façon de se comporter qui l’amène à avoir des réactions et comportements qui lui sont propres. Ce que nous sommes, définit en partie notre capacité à comprendre les autres, et également ce que définit les difficultés à vivre ensemble. La civilisation dans laquelle nous sommes est un organisme composé de plusieurs sociétés disparates et distinctes, mais communiquant entre elles.

Bien qu’on puisse parler d’idiosyncrasie en termes positifs concernant un objet, une personne, une culture, etc., le mot est le plus souvent utilisé dans les contextes de la médecine ou de la linguistique, pour qualifier des comportements troublants, voire non souhaités.

Le mot idiosyncrasie s’applique aussi bien aux gens, qu’aux différentes approches de cultures et peuples du monde.

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« Bien que la vie soit précieuse, de réels problèmes menacent l’avenir de la planète, de l’humanité et des animaux, et s’aggravent dangereusement. L’écart se creuse de façon inéluctable entre ce qui est perçu et remédiable de faire, au vue de la lucidité des citoyens qui soutiennent d’urgentes causes, et les actualités que les gouvernements, les médias et publicités nous font entendre. »

Dans une volonté de préserver les valeurs éthiques d’une nation et afin de mieux la contrôler, l’État s’affaire à rendre cohérente et rationnelle la population, par différents points de vue politiques qui se concurrencent ou s’opposent dans leur but à vouloir concilier la diversité socioculturelle de la nation, en un accord d’intérêt commun.

Du coup, à l’inverse des apparences, là où se mêle l’inter-culturalisme, il la divise davantage. Ce qui nous mène au communautarisme, démontrant que l’individu ne peut pas exister indépendamment de l’aspect culturel ou social du pays dans lequel il réside…! « Bien que le multiculturalisme, coexistence de différentes cultures éthiques, religieuses etc., au sein d’un même ensemble, est précisément la situation du monde dans lequel nous sommes. »

« Les politiques pensent que le peuple est un problème à régler, plutôt qu’une cause à défendre. » Jean-Jacques Bourdin _ « Les élections sont comme des pièces à pile ou face, nous choisissons la face que nous voulons dans l’illusion d’un choix d’un changement, mais le monde reste le même. »

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Depuis l’existence de la planète Terre (4,55 à 4,56 milliard d’années), le XXe et XXIe siècle sont les seuls siècles que la terre a connus dont la croissance démographique a été de 6,1 milliard d’habitants entre 1900 et 2000 et plus de 7 895 312 000 actuellement, contre 1,65 milliard le siècle précédent et à peine 600 à 679 millions vers 1700. Que savons nous de cette soi-disant réalité ?


« Si nous ramenions les 4,56 milliard d’années de notre planète à une échelle de 46 ans, l’homme existe que depuis à peine 4 heure, notre révolution industrielle aurait commencé que depuis à peine une minute et dans cet intervalle d’à peine une minute, nous
avons détruit plus de 50% des forêts de la planète.

L’homme est l’espèce la plus insensée. Il vénère un Dieu invisible et massacre une nature visible . . ., sans se rendre compte que cette nature qu’il abat, est ce Dieu invisible qu’il adore.                                                                                                                                       

Où va le monde ?
Avez-vous déjà considéré que cette planète ne nous appartient pas ?                                                                                  >
Sa protection est entre nos mains. Les animaux étaient là bien avant nous, et nous ne sommes rien d’autre que leurs invités. Nous sommes arrivés en envahisseurs de leur territoire et détruisons leur maison. Ils ont été tolérants et nous avons été pardonnés plusieurs fois, mais nous continuons à ignorer leur situation. Nous avons été leurs ravisseurs, leurs assassins, cependant nous sommes la seule espèce qui agresse, détruit, contamine et anéanti, juste pour un but : vivre mieux.

 

Hubert Reeves s’insurge.

« Nous sommes en danger »
Une Terre inhabitable ?

Hubert Reeves, astrophysicien
(président de l’ONG Humanité et biodiversité) a déclaré
« Nous sommes devant un combat entre deux puissances opposées, la détérioration de la planète et les projets de sa restauration. »
Il a déploré « Ce sont deux forces opposées qui se croissent toutes les deux », (…) « la question qu’on se pose aujourd’hui, c’est qui va l’emporter. Personne ne le sait ».

Il déplore que d’un côté, nous allons dans le sens inverse de ce qu’il faudrait faire, alors qu’il faudrait réduire les émissions de CO2 de 60 à 80% pour stabiliser la température, les émissions augmentent (…) de près de 3% par an ». Très mobilisé sur cette question de longue date, Hubert Reeves pointe du doigt « Nous avons un problème très grave d’érosion de la biodiversité ».

« La biodiversité, ce n’est pas seulement le tigre du Bengale », a-t-il expliqué. Ce sont « les cadeaux de la nature comme les insectes qui pollinisent les plantes, les vers de terre qui fertilisent les sols », a-t-il dit mais « nous voyons ce capital être détruit régulièrement ».

« Il y a aussi des efforts de restauration de la planète en grand nombre », a aussi souligné le scientifique pour qui « il faut avoir une attitude plus dynamique et plus combative, car nous sommes en danger ».
« Il s’agit d’être déterminé dans la lutte pour sauver la planète, pour sauver notre présence », a-t-il ajouté en citant comme mauvaise exemple, « les grandes métropoles chinoises de 30 millions d’habitants (…) »

Ces quarante dernières années, plus de la moitié des animaux sauvages ont disparu. La pression exercée par l’humanité sur les écosystèmes est telle qu’il nous faut chaque année l’équivalent de 1,6 planète Terre pour satisfaire nos besoins, selon le WWF.


Quelle que soit la perception cognitive de l’humain, sachant que le cerveau ne fait pas de distinction entre le souvenir et l’aptitude subconsciente à reproduire des événements que l’on a déjà vu ou vécu, comment pouvons-nous prendre suffisamment de recul sur nous-même, si nous ne voyons la réalité que sur le fondement des pensées ?…

Bien que nous pensions être tous différents en ce monde, nous sommes un. Au sein d’une seule et même conscience, nous nous éprouvons subjectivement. La seule réalité que nous connaissons est celle que notre cerveau produit.
Percevant des millions d’informations chaque jour, notre cerveau les organise sous forme d’hologrammes que nous projetons hors de nous-même et nous les appelons « réalité ».

L’œil humain perçoit entre 120 et 180 nuances de gris, quand un graphiste à l’œil affûté serait capable d’en voir entre 250 et plus de 300 nuances. Néanmoins l’esprit humain s’est adapté psychologiquement à tous les aspects éthiques existants sur la planète. Nous sommes si affectés et influencés par ce que nous voyons, qu’il ne semble ne plus y avoir d’issue à une toute autre réalité que celle que nous vivons dans ce monde.

Cependant, diverses possibilités alternatives de notre civilisation ont été démontrées scientifiquement.
Ces aspects de l’aboutissement humain pourront contribuer à un tournant décisif de notre évolution, ceci avant la fin du 21éme siècle. « Par la suite » pour en comprendre le sens, « Physique Quantique » illustration donné par John Hagelin, vidéo de 18mn16s dans | p9 | John Hagelin nous explique clairement ce qu’est la conscience collective.

« La base même de l’univers est cet unique champ d’intelligence universel, de telle façon que toutes les forces de la nature sont maintenant
( scientifiquement ) comprises comme étant Un. »

 

Ce champ est appelé le champ unifié, dans le contexte de la théorie des super cordes. Ce champ consiste en un océan d’existence se situant à la base de tout, esprit et matière. Tout dans l’univers n’est qu’une ondulation de ce champ, un champ non matériel. Cela est ultimement le champ de la conscience. Tout dans l’univers n’est rien d’autre que cela. Les planètes, les gens, les animaux,… ne sont que des vagues de cet océan de conscience. Nous sommes réellement unifiés à notre base.

Il n’y a qu’une conscience unique dans cette pièce. Nous idéalisons notre conscience via le filtre de notre système nerveux (idiosyncrasie) ou, plus communément, notre mental. Mais la conscience elle-même, le Soi avec un grand « S » est universelle, et connaître cela, le connaître par expérience, révèle une connaissance de soi universelle. »

Cette expérience ne peut pas être comprise uniquement par les mots. « Une description mentale ne peut s’exprimer qu’en termes trop abstraits déformant la réalité ». Enseignement également abordé dans | p7, p8 et p9 |

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« Sommes-nous tous des étrangers dans un monde étrange ! » Prem Rawat
Un monde qui se superpose à une toute autre réalité, que nos mœurs nous empêchent de voir ?… Ces mœurs ont des répercussions négatives dans ce monde, dont nous subissons malgré nous les conséquences. Démenti par les effets pervers de ce monde muni de frontières, se justifiant de l’idiosyncrasie, il ne pourra pas parvenir à un état de conscience mutuelle du bouleversement de notre société et du désarroi de l’humain, qui est la preuve indéniable d’une civilisation profondément déshumanisée.
  Donc je crois que chaque individu doit regarder à l’intérieur de lui-même, faire un pas en arrière en marge de la société,

Pourtant, nous savons que les causes et les conséquences proviennent de la cupidité et du profit. De ce fait, le système, désapprouvé et discrédité par son injustice et l’inégalité sociale, « dont la majorité pense inchangeable à cause de son interdépendance », annonce son déclin inéluctable !…


La plupart des humains voit le monde en 3 dimensions, les 3 dimensions de leur environnement. Pour réfléchir et agir, la population se base au quotidien sur une « représentation mentale » de la réalité uniquement à l’échelle de leur espace vital.

Le concept d’espace-temps d’Albert Einstein nous montre une toute autre relativité, mais le comprendre concrètement reste une chose compromettante et mystérieuse pour l’homme de la rue.

A ces 3 dimensions, il faut tenir compte d’une dimension supplémentaire : le temps.

Ce qui distingue les grands stratèges, « notamment en politique », c’est leur capacité à prendre en compte le temps. Ainsi, ils peuvent concevoir des résultats à long terme, utilisant les effets du temps sur les situations et les personnes, nous dirigeant ainsi par endoctrinement, nous assujettissant à leurs propres idées et à leurs points de vue. C’est ce qui leur permet de prévoir des stratégies dont la plupart des éléments restent ambigus et indécelables par la population. Les industriels, les militaires et les politiciens se réunissent régulièrement pour prendre, sans nous concerter, des décisions qui engagent l’avenir de notre vie et celle de la planète.

Voir : Stratégies de Manipulation

Noam Chomsky – né en 1928 – décédé en 1974

Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation de masse » à travers les médias. Voici en résumé l’éventail de cette liste, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu’à maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité.

1/ La stratégie de la distraction et de la diversion

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, sans aucun temps pour penser. Le foot, les jeux olympiques, Johnny, etc. »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. (Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire, le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.)

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement et graduellement sur une durée de 10 ans. Chômage massif, précarité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement. (Baisse des retraites et allongement de la durée du travail.)

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire, est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. (Augmentation importante de la pression fiscale.)

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ».

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements « La terre se réchauffe dangereusement du fait des seules activités humaines, ce sera terrible pour nos enfants : ainsi les carburants sont encore plus taxés. »

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte « voir certaines émissions de TV particulièrement populaires. »

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalu et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !… (Vous êtes au chômage par manque de formation, suivez un stage et tout ira mieux.)

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen, que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Peu importe la couleur politique, voilà comment nos chers dirigeants nous manipulent !

Albert Einstein :

« L’état est notre serviteur et nous n’avons pas à en être les esclaves. »
– La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne.
– La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne… et personne ne sait pourquoi !
« La perfection des moyens et la confusion des buts semblent caractériser notre époque. »

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Ces genres de conspirations fomentées sont d’autant plus imperceptibles que leurs effets ne sont mesurables qu’à moyen ou long terme, mais elles sont vicieuses, car elles s’appliquent en dehors de la conscience des gens, et modifient considérablement la structure de la situation sur l’avenir.